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Sous le nom de Belle and Sebastian, inspiré par un feuilleton télévisé français, se cache un groupe écossais, né dans un bar de nuit de Glasgow en 1996 autour de Stuart Murdoch (chanteur, compositeur). Girls in peacetime want to dance marque le grand retour des écossais depuis la sortie de Write about love en 2010. Produit et mixé par Ben H. Allen III (Gnarls Barkley, Animal Collective) et leur collaborateur de longue date Tony Doogan, la bande réussit ici l'improbable exercice d'associer la grâce juvenile qui les a rendu quasi-icôniques à des titres up tempo aux instrumentations électro clairement assumées.

Le quatorzième album studio de la chanteuse australienne est le fruit d'un pèlerinage dans la patrie de la country, dont l'influence s'est accrochée à la légende de la pop et à son équipe longtemps encore après leur retour à Londres pour finir le disque.

Dick et son fabuleux combo explorent ici avec énergie et enthousiasme le panthéon des hymnes rockandrolliens, revisitant les classiques d'outre Atlantique tels que Brand new cadillac, Hound dog, Not fade away ou encore Pills. Les classiques de son répertoire hexagonal ne sont pas oubliés. Au contraire, nous les retrouvons ici, magnifiés, malaxés, réorchestrés de main de maitre par Oli Le Baron, son guitariste de légende, déjà responsable du maintenant fameux Mister D. Les titres Nice baie des anges, Faire un pont, Amoureux de vous, retrouvent une actualité insoupçonnée, et ceux extraits de son dernier album studio, Mister D, une fougue hors norme. En 90 minutes, Dick nous assène une prestation live à couper le souffle.

Au milieu du chaos frappant votre poitrine, mélange de flûtes jazzy et de chants de cour de récréation, sur le titre d'ouverture Offence, la rappeuse britannique s'aligne sur des auteurs mâles comme Picasso, Jay-Z et Shakespeare. Le décor est planté : ce projet, dans son abondance, entraîne l'auditeur dans des endroits sombres, vulnérables et tendres. Un véritable rappel de la puissance de l'art de Little Simz.

Jean-Benoît Dunckel revient en homme augmenté avec la rare odyssée futuriste et optimiste de notre époque, l'album H+. Le studio de création français Akatre le projette dans cet espace utopique sur le visuel de la pochette de cet album, qui sort plus de dix ans après celui qu'il portait sous le nom de Darkel (2006), et peu après ses projets parallèles Tomorrow's world avec Lou Hayter (2013) et Starwalker avec Bardi Johannsson (2015). H+ est un emprunt au symbole du transhumanisme et à celui de l'atome hydrogène séparé de son unique électron. En effet, après avoir opposé ses activités en solo à celles de Air avec son pseudo Darkel, il a souhaité réajuster son cap et retrouver son entièreté, sans renier le passé. Fort de son expérience en tant que compositeur de musiques de films (K.O. de Gobert en 2017, Swagger de Babinet et Summer de Kavaïté, en 2015), il a gardé en studio son goût des violons et de l'improvisation. Avec ses synthés fétiches, le MS20 et le ARP 2600 parmi son arsenal, JB a longtemps mûri cet opus dans son vaisseau.

L'idée d'un album cubain a mûri alors que le chanteur observait depuis Miami, où il résidait, les bouleversements qui agitaient l'île de Fidel Castro. La fin de l'embargo culturel lui donne alors l'envie de concevoir ce projet avec Raul Paz, son ami de longue date...

Le duo californien nous offre sa vision grandiose de la musique populaire américaine : huit morceaux aux allures de classiques pop et des arrangements sophistiqués interprétés par un orchestre symphonique.

La jeune artiste de 19 ans, devenue une icône mondiale, a su s'imposer sur la scène musicale pop internationale avec ses tubes Bad guy, Lovely ou encore Everything I wanted. Elle revient en 2021 avec un opus intitulé Happier than ever. L'anti-popstar a séduit critique et public avec un look singulier, des visuels et des textes forts, une voix murmurée et aérienne.

Quinze ans après le succès de Caravane, huit ans après Super-welter, Haute Fidélité marque pour Raphaël l'entrée dans un nouvel âge d'homme qui est d'abord celui d'une renaissance. Douze titres d'une grande élégance et d'une grande sobriété, mais surtout douze titres qui jamais n'épuisent les possibles après un premier refrain. Réalisé et arrangé par Benjamin Lebeau (The Shoes) et Alexis Delong (Inuit), enregistré chez Raphaël dans son home studio chambre à coucher, plus proche que jamais d'un certain idéal d'intimité, et mixé, in fine, à Londres par Craig Silvey.

Le deux fois vainqueur d'un Grammy Award, Fantastic Negrito, présente Have you lost your mind yet ? son cinquième album via Cooking Vinyl/Blackball Universe.

Savant mélange de sons surréalistes et psychédéliques, de dissonances et de rock, Head carrier est le septième album du groupe originaire de Boston. Avec lui, on retrouve le leader mystique et colérique Black Francis, David Lovering (batterie), Joey Santiago (guitare) et surtout Paz Lenchantin (basse et chant) qui a rejoint l'aventure en 2014 après le départ précipité de Kim Deal. Produire Head carrier a été une façon pour le groupe de tourner une nouvelle page, de marquer un vrai changement. Enregistré en seulement trois semaines, il possède les caractéristiques sonores d'un disque des Pixies au futur triomphant : riffs de guitare à foison, harmonies combinées à des martèlements rythmiques, paroles intrigantes.

Décomplexée et à contrepied de la tendance des artistes féminines du moment, Ava Max présente un profil atypique où elle mêle une voix puissante à des productions up-tempo. Avec plus de 3 milliards de streams à son actif, des #1 Airplay & Shazam en France, Ava Max a réussi à s'imposer sur la scène pop internationale. En France, elle accumule déjà les certifications : Sweet but psycho (Diamant), So am I (Or), Salt (Or). Réelle "hitmakeuse" hyperactive, son single Kings & Queens s'est hissé en haut de l'airplay ! Après deux ans de carrière et 5 tubes, elle dévoile ici son premier album.

Après avoir détourné le compositeur Charles Ives dans un album pour lequel il a reçu nomination aux Grammy Awards, Theo Bleckmann est de retour chez Winter & Winter, et se tourne cette fois vers l'énigmatique chanteuse pop Kate Bush. Ce projet va bien au-delà d'une simple recréation, et emmène la musique de la chanteuse anglaise vers un nouveau royaume sonore. Theo Bleckmann est rejoint dans cette aventure par le batteur John Hollenbeck, le bassiste Skuli Sverisson et le multi-instrumentiste Caleb Burhans (alto, guitare et laptop). Du début à la fin, il revivifie le monde sonore de son héroïne pop et s'élève au rang d'artiste culte au sein de la scène jazz moderne.

Hyphen Hyphen revient avec HH, un album qu'ils ont entièrement produit et réalisé. Ils ont collaboré avec les plus grands : enregistrement dans le studio du groupe Air, collaboration avec le coach historique de Mariah Carey, Beyoncé et Christina Aguilera, mix par Maxime Leguil (Justice, Morrissey, Radiohead et Melody Gardot) et mastering par Vlado Meller (Kanye West, Frank Ocean, Ibeyi, Lil Wayne, Michael Jackson..) !

Ce quatrième album exprime en premier lieu le son d'une artiste confiante comme jamais auparavant. Elle y aborde son adolescence et sa vingtaine avec une nouvelle perspective, plus mature, notamment lorsqu'elle évoque son passé dans le sud de Londres, sa famille, ses relations ou même l'art. Une oeuvre qui marque indiscutablement le début d'un nouveau et long voyage pour Florence Welch.

Tous les plus grands singles de Franz Ferdinand enfin réunis. Inclus 2 nouveaux singles inédits. Au cours des deux dernières décennies, Franz Ferdinand est passé du statut de légende locale de Glasgow, à celui de héros de la pop internationale en tête d'affiche des festivals et des charts avec une série de tubes imparables. Franz Ferdinand cumule plus de 15 millions d'albums vendus, 14 disques de platine et 9 disques d'or, et a marqué fondamentalement le paysage musical partout dans le monde et particulièrement en France. 'Hits To The Head' rassemble tous les plus grands titres de Franz Ferdinand en un album. 18 classiques, de "Take Me Out" à "Do You Want To" ou encore "No You Girls", ainsi que 2 nouveaux singles pour lesquels le groupe a travaillé avec le producteur légendaire Stuart Price (Dua Lipa, Madonna, Pet Shop Boys). Un disque indispensable pour tous les fans, mais aussi la parfaite introduction pour les jeunes générations à la musique pop rock.

C'est en 1969, sur les escaliers du Rainbow bar & grill club du Sunset Trip, que les Hollywood Vampires sont nés. "Pour rejoindre le club, il suffisait d'être celui qui boit plus vite que les autres" raconte Alice Cooper, l'un des membres fondateurs des Vampires. En 2012, Alice Cooper et son ami Johnny Depp se retrouvent et décident de faire renaître l'esprit du groupe. Un environnement dans lequel les grands artistes peuvent se retrouver et jouer ensemble. Alice et Johnny ont été rejoints par Joe Perry (Aerosmith), un ami de longue date du duo, par le producteur Bob Ezrin et un groupe incroyable composé de Perry Farrell, Dave Grohl, Sir Paul McCartney, Joe Walsh, Slash, Robbie Krieger, Zak Starkey, Brian Johnson (AC/DC) et Kip Winger.